Blocages, manifestations, vandalisme parfois : les commerçants ont souffert du mouvement des « gilets jaunes », et ils continuent d’ailleurs de subir des perturbations durant les « actes » du samedi. Agnès Pannier-Runacher, la secrétaire d’État à l’Économie, a dressé le bilan des entreprises ayant bénéficié des différentes mesures de soutien prodiguées par les pouvoirs publics et l’administration fiscale. Au 28 mars, ce sont 8 877 entreprises qui ont pu profiter de délais de paiement et de reports de charges sociales.
1 865 entreprises ont pu compter sur des délais de paiement ainsi que sur des reports de charges fiscales. La secrétaire d’État relève une hausse de plus de 1 000 commerces en quinze jours. Agnès Pannier-Runacher a par ailleurs indiqué que ses services n’observaient pas « aujourd’hui » de hausse du taux de défaillance dans les centres-villes. « Mais on sait que des situations individuelles sont problématiques, notamment les commerces d'achats durables ou les restaurants », a-t-elle ajouté. Elle appelle également les entreprises en difficulté en raison du mouvement des « gilets jaunes » à se rapprocher de l’administration fiscale afin de demander un accompagnement et des facilités de trésorerie.
Les commerces touchés par les dégradations commises en marge des rassemblements peuvent également faire appel à leurs assurances afin d’obtenir une indemnisation. À la fin du mois de mars, la Fédération française de l’assurance (FAA) évaluait la somme à verser à 175 millions d’euros pour éponger les pertes d’exploitations et faire face aux dégâts.
1 865 entreprises ont pu compter sur des délais de paiement ainsi que sur des reports de charges fiscales. La secrétaire d’État relève une hausse de plus de 1 000 commerces en quinze jours. Agnès Pannier-Runacher a par ailleurs indiqué que ses services n’observaient pas « aujourd’hui » de hausse du taux de défaillance dans les centres-villes. « Mais on sait que des situations individuelles sont problématiques, notamment les commerces d'achats durables ou les restaurants », a-t-elle ajouté. Elle appelle également les entreprises en difficulté en raison du mouvement des « gilets jaunes » à se rapprocher de l’administration fiscale afin de demander un accompagnement et des facilités de trésorerie.
Les commerces touchés par les dégradations commises en marge des rassemblements peuvent également faire appel à leurs assurances afin d’obtenir une indemnisation. À la fin du mois de mars, la Fédération française de l’assurance (FAA) évaluait la somme à verser à 175 millions d’euros pour éponger les pertes d’exploitations et faire face aux dégâts.